Des arrêts maladies liés à l’activité en recrudescence?
Une démarche de prévention du risque inefficace?
Une activité d’entreprise fortement impactée par les conséquences des TMS?
Que dit la réglementation?
Il incombe à l’employeur de préserver la santé physique et mentale de ses salariés (article L. 4121-1 du Code du travail).
Il s’agira alors pour l’employeur de proposer des actions ergonomiques visant à modifier et améliorer les situations de travail des salariés. Il se reporte également à la réglementation prévue pour prévenir les risques liés à certaines activités telles que :
Description:
Au-delà de lutter contre l’absentéisme, la prévention des TMS améliore plus globalement la qualité de vie au travail. C’est la première cause d’arrêt maladie en France et il est impossible de faire l’impasse sur la prise en charge et la prévention des TMS.
Les tâches répétitives au travail peuvent provoquer des atteintes douloureuses des tendons, des muscles, des nerfs, etc. On catégorise ces maux (tendinites, syndrome du canal carpien, etc..) par l’expression « troubles musculo-squelettiques liés au travail. »
Douleurs, troubles circulatoires, gonflements, raideurs articulaires et rougeurs sont autant de symptômes qui peuvent caractériser les TMS liés au travail.
Les contraintes organisationnelles, psychosociales et mécaniques sont considérés comme des facteurs aggravants qui auront des conséquences différentes en fonction de l’âge et des antécédents médicaux des salariés.